A l'actif de la municipalité de gauche conduite par un maire communiste depuis13 ans: l' Epicerie Sociale et Solidaire de Grand-Couronne.

Vous le savez puisque vous lisez mon blog, le nombre de gens en difficultés ne cesse d'augmenter dans notre pays. 
Dans ma commune comme ailleurs, il y a des familles en difficultés. 
Mais ici, plutôt que de les renvoyer chez les voisions, ou nier leur éxistence, la municipalité conduite par PATRICE DUPRAY a décidée de les aider à se réintégrer dans la vie quotidienne.

Ainsi deux jours par semaine, le Mercredi et le Vendredi, l' Epicerie Sociale et Solidaire de Grand-Couronne, grâce au Centre Communal d' Action Sociale et à l'association que j'ai l'honneur de présider LA MAISON DE LA SOLIDARITE de Grand-Couronne, distribue dans l'épicerie sociale à plus de 1500 grand-couronnais et couronnaises des denrées indispensables sur la base d'un droit et d'un budget familialequi leur est atribué. 
Du dentifrice aux fruits, en passant par leslégumes et la viande, c'est près de 167 articles différents que les familles peuvent choisir dans les rayons.
Ce que les "resto du coeur "font pendant six mois de l' année, nous à Grand-Couronne (comme aussi dans d'autres villes ou le social n'est pas un vain mot) le faisons toute l'année.
Ici aussi,la solidarité joue à plein. 
Il y a deux fois par an pendant trois jours les collectes pour la Banque Alimentaire de la région Rouennaise (la prochaine aura lieu les 28- 29 & 30 mars prochain), il y a le Concert Solidaire organisé chaque année par les professeurs du Conservatoire de Musique, dont l'entrée est une denrée non-périssable et il y a depuis bientôt un an un "Vestiaire Solidaire" qui permet  aux plus démunis de pouvoir s' habiller et habiller correctement leurs enfants à peu de frais. 
Deux fois, voir trois par semaine, il faut aller au ravitaillement et alimenter les rayons.
Tout cela ne peut fonctionner que parce qu'il y a des bénévoles, nombreux qui s'investissent. 
Et quand j'entends dire ici ou là que les gens ne pensent qu'a eux et ne se soucis pas des autres, j'ai la preuve du contraire tous les jours sous mes yeux dans ma commune.
Car c'est bien connu: Ventre affamé n'a pas d'oreille! 
Pour discuter avec les gens, encore faut-il qu'ils vous écoutent. 
Pour vous écouter, il faut qu'ils le puissent. 
Et pour cela avoir répondu à cet te chose essentielle pour vivre, manger à sa faim. 
aujourd'hui pour la chandeleur, les bénévoles acceillaient les clients de l' épicerie et leurs enfants  en leur offrant des crêpes, car la solidarité de l' Epicerie Sociale, c'est aussi l'amitié et la chaleur de la convivialité.